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Evidence for Canadian Draughts
1 pieces of evidence found.
Id DLP.Evidence.2260 Type Contemporary rule description Location 45°30'0.12"N, 73°34'14.55"W Date 1875-01-01 - 1875-12-31 Rules Played on a 12x12 board with 30 pieces per player, arranged on the dark squares. Pieces move diagonally one or can jump an opponent's adjacent player to capture it. Pieces can move forward or backwards. When a piece reaches the opposite edge of the board from its starting position, it becomes a king and can may move and jump over any number of spaces diagonally. Captures are compulsory and the maximum number of jumps must be made. Winning is achieved by capturing all the opponent's pieces or by blocking them from moving.
When a player fails to capture when it is possible, or when the player fails to capture the maximum number of pieces possible, the opponent has the option to remove the piece that should have captured but did not (or did not capture enough). The opponent also has the option to force the player to redo the move with the possible capture or maximum capture. The opponent also has the option of ignoring the possibility of huffing or forcing the player to redo the move.
Content Description of a version of Polish Draughts, with a 12x12 board: "Regles du jeu de dames. Art. 1er—Chacun joue à son tour et, si on joue à but, on commence alternativement la partie; au cas contraire, celui qui fait avantage joue toujours le second.
Art. 2.—Sitôt la partie engagée, une pièce touchée doit être jouée si elle est jouable; de là vient la maxime: Dame touchée, Dame jouée. Mais, tant qu'on la tient, on peut la placer où l'on veut. Quand une pièce est mal casée, si on la toucche pour l'arranger, il faire dire: j'adouble.
Art. 3.—Jouer un Pion de son adversaire ou toucher une pièce qui ne peut être jouée n'est pas une faute; mais, si on se trompe de ligne, l'adversaire peut à son choix maintenir le coup ou le faire rejouer.
Art. 4.—On peut faire passer plusieurs fois la pièce qui prend sur la même case vide, mais non sur le même Pion ou sur le même Dame.
Art 5.—Quand par méprise on a enlevé ses propres pièces, on ne peut plus les replacer si d'adversaire s'y refuse.
Art 6.—Ayant à prendre des deux côtés à nombre égal, on a le choix; sinon, c'est du côté du plus fort nombre: la valeur de la pièce est sans poids dans le prise. Par exemple, si on a à prendre une Dame d'un vôté et un Pion de l'autre, on prend à sa convenance; s'il en était autrement, on serait forcé de prendre une Dame en prise plutôt que deux Pions également en prise, puisqu'une Dame vaut trois Pions. C'est ainsi que nous devins interpréter les anciennes règles, qui disent qu'on doit prendre du côté du plus fort.
Art 7.— Il ne faut négliger d'enlever exactement toutes les pièces qu'on a à prendre, car l'adversaire peut non-seulement empêcher de les reprendre après coup, mais il est encore en droit de souffler la pièce qui a marqué les temps de prise.
Art 8.—Soufler, c'est enlever du Damier, comme bonne prise, une pièce, Dame ou Pion, qui n'a pas marqué et pris tout ce qui devait l'être. Après avoir souffler, on joue son coup comme à l'ordinaire, caar souffler n'est pas jouer.
Art. 9.—One est libre de souffler ou de forcer à prendre. Si on souffle, le coup reste tel qu'il a été joué; si on ne le fait pas, les choses demeurent telles qu'elles sont, et on continue à jouer. Enfin, on peut encore forcer son adversaire à reprendre et à rejouer son coup en règle, si toutefois la pièce soufflable n'a pas été touchée par le joueur qui a le droit de souffler; car, dans ce cas, celui-ci ne peut se dispenser de la faire, d'après la règle: Dame touchée, Dame jouée.
Art. 10.— Un Pion devient Dame dès qu'il arrive sur une des six cases qui se trouvent immédiatement devant l'adversaire; celui-ci doit aussitôt le couvrir d'un Pion de même couleur pris dans le tiroir; mais il ne suffit pas qu'un Pion passe en marquant des temps de prise, sur une des dix cases, il faut encore y demeurrer par la fin d'un coup, sans quoi il continue sa marche et reste Pion.
Art 11.—Jouant à but, si l'un des adversaires reste avec une Dame, et occupe la grande ligne contre trois Dames, la partie est remise. On joue quinze coups si celui qui a trois Dames tient la grande ligne; la partie est remise après ce terme. Quand l'un des joueurs n'a qu'une seule Dame contre une Dame et deux Pions, il a le droit de damer les deux Pions et de commencer à compter les quinze coups de rigueur. Le jouer qui fait avantage compte vingt coups au lieu de quinze (Les anciennes règles portent à vingt-et-un le nombre de coups que peut exiger celui qui fait avantage; mais la nouvelle académie des jeux n'en accorde que vingt, et pour éviter des contestations nous adoptons ce dernier chiffre. " Anonymous 1875. Confidence 100 Ages Adult Source Anonymous. 1875. Le jeu de dames. L'Opinion Publique 6(48), 2 December 1875, 575.
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